Par Gilles Le Roc’h (Reuters) Pays: France
Les conditions de travail sur le Velodrome de Roubaix reste un problem.
AVANT LA COURSE
Le système d’accréditation est au point.
La zone définie par ASO aux journalistes le long de la main courante pour s’entretenir avec les coureurs et les directeurs sportifs après la présentation sur le podium est trop étroite. Et nous ne comprenons pas le passe-droit donné à France-Télévision pour se situer à l’intérieur de cette zone.
La salle de presse est conforme mais il manquait les bouteilles d’eau mises à disposition des journalistes.
Le service internet était bon.
Nous demandons un parking salle de presse digne de ce nom et proche de la salle de presse. Pourriez-vous expliquer aux « petits hommes verts » qu’il est difficile de montrer une accréditation tant qu’elle n’a pas été retirée ?
Les fléchages dans Compiègne ne semblent pas suffisants.
Nous suggérons que des postes Radio-Tour puissent être fournis par le service de presse et remis, le soir de la course, au même service.
PENDANT LA COURSE
Il n’est pas normal que les équipes décident de ne pas se parquer dans l’espace mis à leur disposition. Elles prétendent vouloir être au calme. Elles peuvent aussi changer de sport.
Les informations en course délivrées par Sébastien Piquet sur Radio Tour étaient bonnes.
APRES LA COURSE
Nous sommes favorables à cette salle de presse au sein du vélodrome Jean Stablinski. Elle est fonctionnelle.
Nous demandons un parking salle de presse réel et non une dissémination des véhicules dans une zone élargie. Et pas forcément sécurisée.
Nous regrettons la petite taille des écrans retransmettant les images de la course. En salle de presse.
Comme tout le monde, nous avons été très ennuyés par l’erreur de la production de France Télévisions ne montrant pas les images du sprint pour la deuxième place.
L’accès à la pelouse est sans restriction et les journalistes, c’est heureux, ne sont plus parqués derrière des barrières. Nous souhaiterions que cette zone de travail ne soit pas envahie par des vip qui s’agglutinent avec les managers d’équipes autour des coureurs. Difficile de remplir notre tâche.
Nous regrettons que l’accès aux douches n’ait pas été possible immédiatement. Ce n’est pas une première et cela signifie donc qu’il y a une mauvaise communication en interne.
La conférence de presse des deux premiers s’est bien déroulée. L’absence du troisième, Fabian Cancellara, était de sa part un mauvais signal donné au cyclisme. Il faut savoir perdre aussi.
Le service internet était parfait.
*Nous remercions l’organisation des sandwiches mis à notre disposition en salle de presse.