From Gilles Le Roc’h
En règle générale, Paris-Nice s’est déroulée dans de très bonnes conditions pour les journalistes en dépit du mauvais temps.
AVANT LA COURSE : Le système d’accréditation est au point. Les informations disponibles sont suffisantes même s’il faut regretter (mais c’est le job de l’UCI) que la liste des partants, la veille du prologue à 17h, soit trop tardive. L’accès à la salle de presse, à Houilles, était bien indiqué.
PENDANT LA COURSE : Le café du matin, à l’espace VIP est une excellente nouvelle chaque jour. Les informations en course, par Sébastien Piquet, sont suffisantes dès l’instant où il rappelle le kilomètrage de son intervention et il le fait 4 fois sur 5. Les informations live sur le site officiel sont précieuses. ASO devrait institutionnaliser le live sur toutes ses épreuves et surtout sur celles ne bénéficiant pas d’une retransmission tv (Qatar, Oman, première journée du Critérium International, Tour de Picardie, Pékin, Paris-Tours)
APRES LA COURSE : Comme en 2012, ASO a fait l’effort de rapprocher les salles de presse de la ligne d’arrivée. La distribution des communiqués est rapide même si je pense que les journalistes devraient avoir le droit de les visualiser sur le site de l’opérateur de résultats, Matsport. Très gros effort de Fabrice Tiano et Thomas Carriou, de nouveau irréprochables, pour assurer la conférence de presse du vainqueur et du maillot jaune chaque jour. Et notamment de Richie Porte après sa victoire aux sommets de La Montagne de Lure et du Col d’Eze. La traduction par Sébastien Piquet est top.
CONCLUSION : ASO profite du travail exemplaire et de l’abnégation des deux formidables Carriou et Tiano. Ils ne comptent parmi les journalistes que des amis.